LAURENT SEPTEMBRE 2020
Laurent
Laurent vient de nous quitter… sur la pointe des bottes. Le cancer a eu raison de sa ténacité.
Nous devons notre rencontre à notre passion commune pour la motocyclette. Et d’emblée, il m’est apparu comme le plus complet d’entre nous…
Il roulait sur deux ou trois roues. En solo comme au guidon de son side-car, il m’impressionnait par sa maîtrise et son sens de l’anticipation.
Il était sans doute le plus prudent d’entre nous. Il aimait la vie.
Quand pour la première fois, je lui ai parlé du Moto-club médical, il a montré d’emblée son intérêt pour notre structure.
Et c’est timidement qu’il m’a demandé s’il pouvait nous rejoindre… Il fut tout de suite adopté et apprécié. Il était bien des nôtres.
Lui et moi, sans nous connaître à l’époque, nous avons pourtant débuté ensemble notre vie motarde. Au cœur des années terribles…
celles de fin 1960 début 1970. Elles nous ont appris l’humilité routière. Nous voulions profiter pleinement de la route… C’est ainsi que nous nous sommes connus.
Mais au-delà de rouler ensemble, une profonde amitié s’est rapidement tissée entre nous… Elle résulte surtout de sa personnalité. Celle d’être sincère avec lui-même et avec les autres. Il savait affirmer son caractère tout en respectant autrui. Il a fait carrière dans un métier manuel, moi dans une activité intellectuelle, mais sa culture dépassait la mienne. Nos échanges n’en étaient que plus riches. Nous discutions sans fin et sans nous lasser de l’évolution du monde et de ceux qui le peuple. C’était sans prétention, mais nous nous enrichissions mutuellement. Nous existions.
Rouler ou discuter avec lui va désormais nous manquer à tous. Nos routes viennent de diverger. Personnellement, je sais déjà que la mienne n’aura plus jamais le même charme. Salut vrai frère…
Dominique
Adieu Laurent… merci à Dominique d’avoir trouvé les mots pour nous parler de lui qui nous a quitté sur ma pointe des bottes, discret il était… très peiné c’est sûr... regrets de ne pas avoir davantage échangé avec lui… sale année 2020.
Frederic
putain d'année 2020
sa gentillesse restera,sa simplicité,son calme m'ont marqués
RIP Laurent
ERIC
Ça fait vraiment beaucoup de décès autour de moi cette fichue année 2020, et à chaque fois pas n'importe qui !
Merci Laurent de ta trop brève compagnie auprès de nous. Repose-toi, à présent, vieux frère, tu restes parmi nous dans notre cœur.
JY
Encore une triste nouvelle...
Je garderai le souvenir d'un homme comme je rêverais que l'humanité lui ressemble, aimable, humaniste, à l'écoute d'autrui, bon camarade,..... Dominique je comprends ta douleur et le vide qu'il va laisser parmi nous
Cette période est décidément bien pénible à vivre et nos retrouvailles en Creuse n'en seront que plus intenses
Bises non covidees à tous
Philippe L
2020!
Tristesses, incompréhension !
Dès gens, des bonnes personnes qui disparaissent.
Pas assez connues, on passe à côté souvent, car discrets, mais prévenants et attentionnés.
J'ai du mal à comprendre !
Les regrets apparaissent.
Quelle tristesse.
J'ai hâte de retrouver le club ! De me nourrir de tous !
Dominique, le vide qui t'accable, le chagrin....je pense à toi et à ses proches.
À bientôt à tous !
Didier et Catherine
J'apprends à l'instant le décès de Laurent dont nous avions remarqué l'absence depuis plusieurs sorties.Accompagné de Dominique il était comme son frère ,d'une gentillesse extrême et d'un sens aigu de l'observation.On ne peut que regretter de ne pas avoir eu sa compagnie plus tôt parmi nous .2020 est vraiment pour le MCM une année noire.Merci Dominique pour ce bel hommage que tu lui as rendu et nous partageons ton chagrin.Présente à son épouse et sa famille toute nos condoléances au nom du MCM.
Jacques C
LUCIEN MAI 2020
Ton rire, Lucien, ton rire, je crois que c’est ça qui va le plus me manquer, ce bon gros rire qui n’attendait qu’une occasion pour éclater, ce rire qui disait toute ta joie de vivre,tout ton bonheur de partager...
On s’est connus dans une grande courbe à droite qui remontait sur Rouen; tu m’as dit que tu n’imaginais même pas qu’on puisse pencher autant avec une moto; t’as dû pas mal relativiser tout ça par la suite...
Peu de temps après, tu m’as offert la plus grande marque de confiance qu’un homme puisse recevoir: tu m’as confié la vie de ton enfant; je me suis dit « il est fou », mais je me suis acquitté de ma tâche du mieux que j’ai pu, avec une fierté que tu ne peux pas imaginer.
J’ai tremblé pour cet enfant quand je l’ai vu disparaître entre le camion qui obstruait la route et le rail qui bordait l’intérieur du virage, j’ai imaginé le pire, l’espace d’un instant, le pire...
Ce n’était pas son heure, ne reste qu’une anecdote.
Combien de fois ma bonne étoile...
La tienne n’était pas là, ce jeudi 28 mai.
Beau temps, belle mer, peu de risques, en somme.
On crie à l’injustice, mais ce n’est pas comme ça que ça marche...
Le hasard, le destin, le concours de circonstances... le piège se referme, imparable.
Quand j’ai appris le drame, j’ai tout de suite pensé à Thierry, que tu aurais pu connaître, puisqu’il s’était inscrit avec moi en 1ère année de médecine, à l’été 75,
Thierry blond et bouclé, parti en vacances avec son frère en Angleterre sur sa 125 Honda K4, qui a pris la voie de droite en sortant du bateau et percuté un taxi... 17 ans, la vie devant lui...
Tu n’es pas mort de ta passion, Lucien, tu as perdu la vie dans un accident de la circulation; tu n’étais pas en tort, mais on sait tous que pour nous, ça ne change pas grand-chose...
Nous sommes tous tristes et désolés d’avoir perdu un tel ami, mais ce n’est pas à nous qu’il va le plus manquer.
Ce foutu destin, c’est sur Patricia qu’il referme ses griffes, sur Patricia et leurs enfants, et leurs petits enfants qui avaient encore tellement à apprendre de lui, à recevoir de lui, à partager avec lui...
Le réconfort ne suffira pas, il faudra se battre et se battre encore, sans le renfort de Lucien.
Puisse son esprit accompagner encore longtemps leurs pas.
Et les nôtres.
Tryphon
C’est tétanisant ! On ne se réveille pas d’un cauchemar…
On plonge dedans. La violence de l’annonce égale celle des faits. Lucien s’est tué à moto. Par la faute d’un inconscient, une amitié vole en éclat. Elle n’a plus d’avenir. Il ne reste que son passé…
Et un chagrin démesuré.
Lucien ! Ta gouaille du Sud-Ouest restera à jamais dans nos mémoires. Comme un mousquetaire, tu avais du cœur et du caractère. Tu marquais ta présence avec bonheur et élégance.
Le sens de l’hospitalité et de l’écoute des autres te caractérisait. Ta personnalité affichait la générosité.
Très vite notre passion commune pour la moto a débordé sur des liens profonds.
Avec Patricia, tu nous as souvent reçus, chez toi. Nous avons roulé et ri ensemble…
avec, aussi, tes enfants Sandra et Guillaume. Nous formions, en quelque sorte, une même famille.
Rien ne s’effacera jamais.
Tous ces moments heureux resteront et continueront de vivre en nous.
Et si le plaisir de rouler derrière toi nous manquera désormais,
notre imagination fera en sorte que tu sois toujours avec nous.
Ton destin tragique ne peut tirer un trait sur tout. Le bonheur connu ne peut disparaître. Comme les routes sur lesquelles tu roules maintenant, les instants vécus en commun sont éternels.
Dominique
Combien de fois perdons-nous ceux que l'on aime sans le savoir?
Combien de fois crie-t-on "au revoir" sans même se retourner, et c'est fini pour toujours, et ce que l'on voudrait retenir,
ce que l'on voudrait revivre même une minute, même en rêve n'existe tout simplement plus.
Céline L
Je suis comme tout le monde : complètement ébahi par cette nouvelle qui me terrasse et je n'arrive pas à réaliser ....
C'est vrai, on se rappelle de la gentillesse, de la disponibilité de Lucien, son sourire permanent (je ne l'ai jamais vu de mauvaise humeur ou même sérieux) ; on n'a que son visage souriant
et bien sur son accent….c'était un motard exemplaire, prudent et raisonnable et c'est trop injuste que la fatalité lui soit tombé dessus ....c'est trop, C'EST TROP MOCHE, qu'un bon garçon comme Lucien soit fauché d'un coup serpe par la fatalité...
Comme dis Jean-François, il faut se serrer les coudes et continuer la pérennité de ce magnifique club en pensant à lui, en mémoire de lui qui s'occupait si bien de la gestion de nos sorties,tout était préparé avec beaucoup de soin et de méticulosité.
Christian D
Tu vas nous manquer Lucien,
Ton accent du sud-ouest, ta sollicitude en toute occasion, ta bienveillance pour ceux qui avaient des trajectoires différentes, ton attachement à ton club...
Tu resteras notre trésorier perpétuel
Toute mon affection à Patou, Guillaume et la famille Esquerré injustement endeuillée.
Bises attristées à tous ceux qui te pleurent.
Affectueusement
Pierre O
Le chevalier a été terrassé en un combat déloyal. Colère et chagrin.
Grande peine pour les siens.
Philippe Z
Juste une petite histoire au sujet de Lucien
Sortie Nice, repas à Moustier. Je ne me gare pas bien. À la sortie du restaurant Lucien avec sa bienveillance habituelle me sort la moto d'une position impossible.
Il la béquille sur le trottoir. Il y a une couche de sable invisible. La moto se couche et un clignotant est esquinté.
Lucien est catastrophé. Je lui explique que ce n’est pas grave et que dans un cas comme ça on ne va pas faire une histoire aux pompiers d'avoir mis de l'eau partout. Bernique,
Lucien, de retour chez lui me fait parvenir six bouteilles d'un prodigieux Gaillac.
Lucien, c'était un prince.
Jean-François BF
Aucun mot ne saura diminuer notre peine, nous garderons le bonheur de t’avoir connu Lucien! Toutes nos pensées vous accompagnent pour ce terrible adieu.
François V
Ce matin nous sommes tristes on a de la peine, qu'elle tragique nouvelle. Tu vas nous manquer Lucien.
On aurait dû être tous ensemble dans les Hautes Alpes, sans la crise sanitaire.
Parfois la vie est trop moche.
Sincères condoléances Patricia
Ainsi qu'à toute ta famille.
Gilles et Monique.
Que dire c’est trop dur
Tous ces souvenirs qui remontent
Beaucoup de courage à Patricia et ses enfants.
Martine et Yannick
Je ne peux rien dire...je pleure trop
Charlotte
C’est avec une grande tristesse que j’apprends la disparition foudroyante de notre ami Lucien.
Je garde en mémoire l’accueil chaleureux qu’il nous réservait à chaque sortie du moto-club.
Sincères condoléances à Patricia et à toute sa famille.
Jacques P
Tellement choqué par cette terrible nouvelle.
Lucien, sa sagesse, son humour, son sourire et sa gentillesse...
Pensées profondes et soutien vers Patricia et sa famille.
Gilles C
Lucien, c'était un roc aussi rocailleux que son accent mais si solide.
Les rocs se brisent mais ils laissent des pierres avec lesquelles on bâtit.
Jean-François BF
Cette nouvelle est un drame immense.
Les larmes me viennent en lisant vos messages.
Que ceux qui pourront aller aux obsèques témoignent de notre soutien à Patou et ses enfants.
J.Louis D
On ne sait pas quoi dire Lucien, tu vas nous manquer on pense très fort à toi Patricia et à tes enfants
Anne et Alain
Je garde les bons souvenirs, Lucien, avec son accent, toujours souriant. Il va nous manquer.
Marc H
On ne le connaissait que de cette année ,on a fait un bout de chemin aller et retour ensemble (Colmar) c’était génial,
c’était notre guide pour la route pour une première, respect sérieux, C'est affreux !
Mariano O
On n’oubliera pas cette année 2020 de....... M ! Comme on ne t'oubliera pas Lucien.
Patrick B
Lucien était chaleureux, il aimait cette bande, il était un regard, un sourire, un mot amical, dans nos conneries motardes il était là mais j'avais remarqué sa sagesse et sa présence me rassurait...
Fréderic R
Ces moments cruels de la vie nous enlèvent un super pote toujours sympa, généreux, à la bonne humeur communicante, incarnant parfaitement la solidarité du motard. Tous mes vœux de soutien et de courage à Patricia et sa famille.
Philippe C
Sincères condoléances à tous, nous n’oublierons pas tous les bons moments passés avec Lucien, notre compagnon de route et ami motard
Claudine et Jean-Michel
Que dire dans de tels instants...
Nous étions si proches, je pleure un ami, un père spirituel, mon Lulu !
C'est un cauchemar éveillé, j'aimerai tellement me réveiller demain en réalisant finalement qu'il nous avait fait une mauvaise blague, mais ce n'est pas son genre...
Je ne retiendrai que sa formidable gentillesse, sa bonne humeur, son empathie, son humour, sa joie de vivre communicative et sa générosité.
Toutes mes pensées vont vers Patou et ses enfants !
Je sais que ce n'est qu'un au revoir ! A bientôt Lulu
Christophe G
Quelle triste nouvelle. Le départ d’un être si bienveillant empreint d’une éternelle bonne humeur est si cruel.
Affectueuses pensées à Patricia et ses proches
Philippe et Babeth
Terrible nouvelle que nous recevons ce soir. Lucien, la prudence même à moto, le sourire, la bonne humeur et cet accent ensoleillé...C’est terriblement injuste la vie.
Geneviève se joint à moi pour présenter toutes nos condoléances à Patricia ,ses enfants et à tous les membres du MCM.
JACQUES C
Après la très triste nouvelle j’ai repris péniblement la moto pour faire un tour dans le Dévoluy.
Pendant le trajet une petite phrase revenait sans cesse : et si je me perds, qui me ramènera ?
Bien sûr ça parlait de Lucien
Ça parlait d’un retour sur Lérida sous une pluie infernale, ramené à l’hôtel avec un petit groupe en complète galère par un Lucien impérial et vigilant tout warning allumés.
Je me rappelle une traversée de Clermont Ferrand dans laquelle je tournerai encore.
Je me souviens de la sortie de Carcassonne et du soin pris par notre camarade d’élaborer le road book pour nous faire rentrer sans difficulté toujours par le même itinéraire.
Lucien avec sa simplicité magnifique prenait soin du club et de chacun.
Notre berger va bien nous manquer.
Voilà
Jean-François BF
C'est une terrible nouvelle ...
Il était d'une gentillesse rare, et pas malhabile avec sa grosse BM ...
On avait fait chambre commune à DIEPPE ...
On a perdu un frère ...
Condoléances à toute sa famille ...
PASCAL A
J'ai tout appris en moto en suivant Lucien
J'ai du mal à réaliser
Courage Patou
Eric
GILLES 2017
Salut Gilles,
Paraît qu'on te verra plus ailleurs que dans nos souvenirs et sur les photos.
Fait chier!
J'ai beaucoup pensé à toi en revenant de cette virée niçoise à laquelle tu
aurais tellement aimer venir, une dernière fois, pour qu'on se voie.
Je m'étais dit qu'il faudrait que je t'écrive, une fois rentré...
Je l'ai pas fait. Je t'aurais dit quoi?!
T'allais partir, avant qu'on s'en aille nous aussi, chacun notre tour, alors à quoi bon...
J'aurais peut-être dû quand même. Trop tard. Tant pis.
Dimanche matin, je fouille dans les archives du moto-club pour retrouver ta trace.
Mai 94. Gérardmer. VFR gris argent (déjà).
J'y étais pas, à celle-là; je partageais ma chambre d'hôtel avec le gars Dupuis, à Douglas, ile de Man; avant, j'étais Alain, après, j'étais Tryphon, mais c'est une autre histoire.
T'es longtemps resté dans l'ombre, en fait; sympa, discret, réservé... c'est pas moi qui l'ai dit, mais je crois que c'était vrai.
Tu m'as sauté à la gueule quelque part du côté de la Garde-Freinet, lors de la sortie de Brignoles. J'imaginais pas qu'on puisse rouler comme ça avec une Pan-European, les valises au ras du bitume!
Purée, il enquille, celui-là!
J'avais encore rien vu...
A la sortie d'Albi, Patricia et Lucien m'ont demandé si je voulais bien prendre Guillaume derrière moi, " pour lui montrer "... Parents indignes et inconscients!!! Ah! ça, j'ai pris ma mission à coeur et j'ai augmenté le rythme progressivement tout au long de la journée... jusqu'à dégoupiller total dans le dernier baston de l'après-midi. Sûr qu'il s'en souvient encore, le Guillaume, vu la banane qu'il affichait en enlevant son casque! Ce dont il ne se souvient peut-être pas, c'est que celui qu'on suivait, c'était toi, et que je me suis régalé dans ta roue à regarder les valises (toujours!) basculer d'un bord à l'autre de la pis... route en se demandant ce qu'elles avaient fait au Bon Dieu pour tomber sur un mec comme ça...!!!
J'avais encore rien vu...
Privas octobre 2003. J'avais l'arme absolue, la 1000 VTR bleue ex-Martinet (machine quasi-officielle, donc) avec laquelle personne, je dis bien personne, ne serait en mesure de prendre ma roue...
Allez, je peux bien le dire, maintenant, on était seuls tous les deux, pas de témoins, juste l'attaque...
Non seulement j'ai jamais pu te décoller de mes rétros, mais en plus, une fois devant, tu m'as décroché inexorablement, avec ta vieille Pan...
OK, Gilles Pont, je faisais pas le poids, et de ce jour, je t'ai laissé passer dès que je voyais le museau argenté de ta FJR débouler dans mes rétros...
Autrans 2011, ton apothéose, ta sortie, ton terrain de jeux, tes jouets, que tu étais si fier de nous montrer, le plaisir de rouler avec au milieu de tes potes et de boire nos regard admiratifs... Sûr que j'aurais jamais imaginé suivre un jour une boite à eau (Suzuki 750 GT) sur les routes de montagne!
On partageait la même passion, on a partagé les plus belles routes, on a ressenti les mêmes frissons, la même adrénaline, c'était un plaisir de rouler avec toi; t'étais pas toujours très causant, je ne le suis pas non plus, mais on était bien ensemble, et il nous reste les souvenirs, et les photos, pour nous remémorer tout ça, pour le temps qu'il nous reste...
J'ai de la peine pour les tiens, pour ceux que tu laisses qui t'aimaient plus que de notre amitié.
Tu restes dans nos coeurs, comme Gilbert, comme Agnès, comme Michel, comme Christian...
On t'emmène avec nous à la prochaine sortie.
Promis.
Tryphon.
Gilles
Il vient de prendre la route de l’infini.
Trop vite pour nous. Il nous laisse là pantois. Dans le désarroi.
Avec en mémoire son éternelle jovialité qui n’avait d’égal que son talent au guidon. D’emblée il a marqué la vie du Motoclub.
Brillant tout autant que discret, il ne laissait personne dans l’indifférence. Sa personnalité rayonnait. Il vivait toujours dans la passion. Tant pour les siens que pour son métier ou encore la motocyclette. Sans oublier son sens de l’amitié démesuré.
Sûr qu’un grand vide s’installe dans notre paddock comme au sein de nos virées. Mais il reste dans notre esprit. Aussi nous garderons l’impression que toujours il nous accompagne. Comme tant d’autres partis avant lui. Le Moto-club médical pleure mais ses larmes nourrissent le souvenir et resserrent ses liens.
Nous continuerons à rouler ensemble avec sous notre casque le souvenir et le sourire d’un grand bonhomme. à bientôt là-haut Gilles…
Dominique
C'est un soir d'automne bien triste.
Gilles était vraiment un gars sympa et passionné, pas seulement de moto.
Transmettez à sa famille toutes nos pensées.
J.louis
Très sincères condoléances à la famille de Gilles; je garderais de lui le souvenir d'un gars sympa, réservé et très agréable à suivre en moto....quand je le pouvais !!!
Philippe c
Triste nouvelle discrétion générosité efficacité dans son pilotage. Le tout avec un sourire que je n'ai pas oublié.. Gilles reste dans mon souvenir. Mes pensées vont vers les siens en ce moment douloureux.
Hugues
Chers amis, J'ai appris comme vous avec peine le décès de notre ami Gilles dont la chevelure argentée et le sourire
vont nous manquer lors de nos virées motocyclistes' J’ai en souvenir la sortie jurassienne de 2009 à
Malbuisson qu'il avait organisée de main de maître.
J'adresse ce jour par courrier à sa famille au nom du MCM et en notre nom propre un message de condoléances.
Amitiés à tous.
Jacques
Quelle tristesse!
Je suis heureux d'avoir pu partager autant de kilomètres de motard avec Gilles, je me souviens notamment comment il m'avait "enfumé" dans une montée de col, au sens propre comme au sens figuré puisqu'il était au guidon de sa Suzuki fraîchement restaurée... Je croyais avancer un peu mais il m'a prouvé le contraire, bien que sa moto aie été à ce moment-là en rodage !
Et son pilotage ne faisait que refléter toutes ses qualités humaines
Et finalement je regrette de n'avoir pas pris le temps de lui rendre une petite visite lors d'une de mes migrations hivernales dans sa région.
Amitiés
Jean-Yves
Comme cette photo nous sommes très tristes de ton départ
Tes trajectoires parfaites resteront dans nos mémoires
Tu vas retrouver Gilbert et Michel pour de nouvelles virées au-dessus des nuages
Affectueusement
Philippe l
Triste nouvelle,putain de vie;il est parti trop vite sur la route des étoiles
Très triste de cette nouvelle;Tout mon soutien à sa famille et ses proches.Mes pensées pour Gilles ,sa gentillesse et sa modestie ...
Amitiés.
ERIC G
GILLES pas toi, tout ce que tu faisais était parfait, un homme comme toi ne devrait pas partir .sincères condoléances à sa famille, Pierre-Jacques Chognon
Gilles, tu nous manquais déjà aux précédentes sorties...et là ce sera pire...
Toutes nos pensées à tes proches
Nous sommes bien tristes
Charlotte et Pascal
MICHEL 2013
Michel
Les jours peuvent bien passer depuis l’annonce du drame, je n’arrive toujours pas à l’admettre vraiment. Et c’est idem sans doute pour tous les membres du club.
Ce sera difficile d’oublier Michel,qui tout comme Agnès restera à jamais dans nos mémoires. Michel Masieri était arrivé parmi nous en toute discrétion. Mais très vite il s’est imposé par son enthousiasme débordant et communicatif. Son bonheur d’être parmi nous rayonnait sur le groupe. Il apportait la joie. C’était un motard heureux. C’est à moto qu’il avait appris à maîtriser les éléments. Une maîtrise qui l’a emmené vers un ailleurs… vers le grand large. Toujours avec passion, il est passé du guidon à la grand voile. De la route à l’océan. Tout en nous assurant un retour prochain parmi nous. Le destin en a décidé autrement. Il est parti dans un ultime élan paradoxalement enthousiaste et tragique. Si elle ne nous plongeait pas dans une profonde tristesse, nous pourrions juger sa disparition en mer sublime… forcément sublime. A l’image de l’homme qu’il restera.
Dominique
AGNES 2010
Extrait du compte rendu de Dominique de Buis-Les-Baronnies.
Il manquait aussi Agnès, Sudiste corps et âme.
En roulant au sein de paysages magnifiques, mais sur des routes piégeuses,il me semblait l’entendre rire sous mon casque, Agnès. Elle se moquait de mes trajectoires aléatoires, mais elle faisait briller les gouttes de flotte qui constellaient ma visière.
Elle donnait à la pluie les teintes lumineuses qui vont bien à la région…
CHRISTIAN 2010
GILBERT
Commentaires
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- 1. LABOUTE Le 12/01/2022
Chère Patricia, Cher Guillaume
A la faveur d’un surf sur internet, j’apprends le décès de Lucien. En mai 2020 si j’ai bien compris. D’un accident de moto ?
Je voulais vous témoigner à tous les 2 ainsi qu’à tous les membres du club, de mon chagrin depuis que je connais cette nouvelle.
Lucien, c’était la gentillesse même, le sourire, la bonté. Et un cœur gros comme ça.
Jamais un mot plus haut. Toujours un sourire et un soleil qui faisaient partie de ses gènes.
Et son merveilleux accent d’Albi qui reflétait ce qu’il était, un homme bon.
Je me souviens d’un homme particulièrement humain, amical et fédérateur.
Toujours à l’écoute (nous nous étions parlé au téléphone) de tout le monde et des membres du moto-club-médical en général.
Lucien, c’était « la classe ».
Il a toujours fait preuve de prudence et de retenue dans son pilotage et dans sa vie.
Je l’aimais bien. Réellement.
Et je garderais un super souvenir de lui.
Prenez soin de vous, tous les 2
Et bises à tous les membres du moto club – ceux d’avant et ceux d’aujourd’hui.
Christian LABOUTE
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